Je pense que le sevrage est beau.
La sueur embryonnaire et la souffrance douce en spirale.
Catharsis stellaire.
Maintenir dans la gelée d'Hiver sans une clé.
Mais incapable de porter le poids de ton hurlement.
Aduler, ramper, l'obsession que le mucus a couvert.
Bourbe horrible.
Il tyrannise comme une ombre menaçant.
Frigide dans ton sourcil.
Et tu luis.
Tu ne pourrais jamais briller encore avec aussi éclat que tu fais maintenant.
Dans une pâleur contre les pistes dans la neige.
Dans la boue, et le pourrissement.
Tu ne menaces pas le rachat.
Parce que ton réjection est plus dure que le sol au dessous de tu.
Le soleil ne s'est jamais élevé comment tu tu souvenais de lui quand tu clignotes.
Et quand tu descendes--
Quand tu tombes--
Tu pleureras pour lui.
La beauté de la catastrophe est vivante dans ton misère.
Quand tu prends ton premier souffle, et tu tu rendes compte,
Ton langue toujours goûts comme la lumière du soleil dans tes rêves.
Et avec chaque braise dans ta noyau,
Tu veux toujours rien plus,
Que toucher ces rayons encore.
-Sabine
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